Suite à une prise de risque réelle ou supposée, certaines personnes se mettent, en effet, à chercher sur Internet s’ils ont des « symptômes typiques » et, effectivement, pensent les trouver et arrivent à la conclusion qu’ils sont contaminés par le VIH.
Il n’y a qu’un médecin qui peut, après examen, évaluer la situation par rapport à une éventuelle contamination par le VIH ou, d’ailleurs, une autre IST (infection sexuellement transmissible).
D’autant plus que lesdits « symptômes » que certains regroupent en « primo infection » par le VIH (juste des manifestations d’une grosse grippe) ne sont pas fréquents du tout, pour ne pas dire sont assez rares. Chaque organisme réagit différemment à l’arrivée du VIH et essaye de se protéger par des différentes façons.
Par ex. les ganglions enflés sont données comme exemple, mais les ganglions enflent à cause de toute infection et, suite à une prise de risque, parfois à cause d’autres IST comme gonorrhée où chlamydia. Ou, également, sans prise de risque sexuel, pour l’Afrique subsaharienne par ex. – le paludisme, la cholera, le typhus etc…
D’ailleurs dans la plupart des cas de contamination la personne… ne ressent rien, d’où le caractère « sournois » de l’arrivée du virus.
Voilà pourquoi il est primordial de se faire dépister – la seule façon de savoir si on a été exposé et contaminé.