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La 3ème Pride organisée par ‘Les Bonnes Débroussaillleuses’ aura lieu le samedi 10 juin prochain, à Villefranche de Rouergue !
Les personnes séropositives vont bientôt pouvoir intégrer l’armée.
Invité des «Quatre vérités» de France 2 ce lundi matin, le ministre de la Défense Sébastien Lecornu a annoncé avoir pris un arrêté «qui va revoir l’ensemble des critères d’aptitudes pour rentrer dans les forces armées». Désormais, les personnes atteintes du VIH pourront intégrer «la gendarmerie, les sapeurs-pompiers de Paris et de Marseille, et l’ensemble des forces armées» ce qu’une loi de 1980, instaurant une nécessité de remplir certaines «conditions d’aptitude physique» ne leur permettait pas.
«Ce n’était pas forcément discriminatoire, le service de santé des armées avait parfois quelques peurs pour nos militaires qui servaient en opération extérieure. Ils ont fait un boulot remarquable avec les associations et notamment AIDES grâce auquel ils ont fait évoluer les protocoles thérapeutiques qui permettent désormais de nous assurer qu’avoir le VIH ne soit pas un critère discriminant pour entrer dans les forces armées», a-t-il développé.
L’arrêté doit être publié dans les prochains jours.
Après le succès de l’année dernière, Relais VIH tiendra un stand de prévention et réduction des risques au jardin public de Rodez,
le samedi 13 mai 2023 de 11h à 14h à la deuxième Pride de Rodez, organisé par l’association aveyronnaise Alertes.
Vous y trouverez gratuitement de la documentation sur la vie affective et les risques de transmission des infections sexuellement transmissibles ainsi que du matériel de prévention : des préservatifs internes et externes, des carrés de latex , mais aussi des autotests VIH.
Environ 1500 femmes séropositives donnent naissance chaque année en France. Les avancées thérapeutiques ont réduit les risques de transmission du VIH de la mère à l’enfant. De nouvelles recommandations américaines montrent l’exemple…
Malgré le contexte difficile d’inflation, les ruthénois ont contribué généreusement à la collecte pour le Sidaction 2023. Avec l’équipe dédiée de bénévoles : Christophe de l’association Alert(e)s, Marie du Planning Familial, Nadine, Noelle, Aline, Cécile et Vlad de Relais VIH, nous avons arpenté le Marché de Rodez, la galerie marchande du centre Leclerc à Onet le Château et effectué une ‘tournée des bars’ de Rodez.
La collecte nous a également permis d’aller à la rencontre du public et de discuter du VIH et de la prévention.
Bilan : 530 euros récoltés, 212 pins, 75 rubans rouges, 180 préservatifs distribués et beaucoup de sourires et d’échanges…
https://don.sidaction.org/?fbclid=IwAR1rbSH_6s6EqauvC8CZxu4VoThMOPyajFYHQR10svX-8X8Nxgisa7_KFKA
En déplacement à Jarnac (Charente), mardi 28 février, Emmanuel Macron a annoncé la généralisation au collège des campagnes de vaccination pour lutter contre le papillomavirus. Cette vaccination anti-HPV sera destinée, dès la rentrée prochaine, aux élèves volontaires des classes de cinquième, filles et garçons.
Le processus a déjà été expérimenté pendant deux ans dans la région Grand Est et il a généré de bons résultats, précise l’Elysée. « Un réel effet de rattrapage » a ainsi été constaté : 24% des élèves de cinquième se sont fait vacciner à l’école la première année et 21% la deuxième année. Au sein des établissements scolaires, les agences régionales de santé (ARS) se coordonneront avec les rectorats pour mettre en place des équipes médicales non scolaires chargées de sensibiliser et de vacciner.
En outre, dès le mois de septembre, la prescription et la vaccination contre le HPV – recommandée pour les adolescents entre 11 et 14 ans mais qui se faire jusqu’à 19 ans – pourront être réalisées par des pharmaciens, des sages-femmes ou des infirmiers. Cette généralisation permettra notamment d’éviter trois rendez-vous coûteux chez le médecin (une première consultation puis deux autres pour les deux doses).
A l’écoute des besoins de santé dans chaque territoire, l’ARS interroge chacun d’entre nous à travers une quinzaine de questions : Comment va votre santé ? Quels besoins prioritaires mais aussi quelles idées et propositions pour des solutions de proximité ? Les réponses des participants contribueront à l’élaboration des priorités de notre politique régionale de santé en Occitanie, en lien avec l’ensemble des acteurs de nos territoires et de nos instances de démocratie sanitaire.
Cette consultation citoyenne en ligne sera complétée courant mars et avril de 13 ateliers organisés dans chaque département pour aller à la rencontre de publics spécifiques ou échanger sur des thématiques plus ciblées. Ces précisions sont accessibles sur le site de la consultation: